Étienne Faure et Didier Henry se connaissent, se lisent et s’estiment, depuis déjà plusieurs années. En résonance avec le réel, comme avec l’Histoire, et dans une attention vive aux mots et aux choses, les deux poètes lisent leurs pages récentes, et sans doute aussi quelques inédits.
Le thème de ce Printemps des poètes est celui de la frontière, chère à la littérature, comme l’écrivait Claudio Magris : « D’une certaine manière, j’ai senti que
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